Georges DELANNOY, inventeur local

Monsieur Georges MASSIOT vient de nous transmettre un texte que son père René MASSIOT avait écrit et qui est resté impublié. René MASSIOT a beaucoup recherché et écrit sur Merville et nous évoquerons bientôt son souvenir. En attendant, voici un article inédit redonné au mot près. Depuis qu’il a été écrit, on ne fabrique plus à Merville de cuisinières aux « Franco-Belge ».


1 Commentaire

    • massiot sur 2 novembre 2020 à 9 h 51 min
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    J’ai trouvé intéressant ce texte écrit par mon père à la suite d’entrevues réalisées dans le cadre d’une histoire des Fonderies Franco-Belges dont il avait entrepris la rédaction. Il demanderait à être complété par d’autres témoignages et illustré dans la mesure du possible.
    L’histoire du brevet mérite un commentaire. D’abord il n’a jamais été déposé (source: INPI). Ensuite écrire un brevet exige une rédaction particulière et c’est le travail de cabinets d’experts. En effet, une invention doit être élargie afin de ne pas être contournée et couvrir toutes sortes d’applications qu’il faut imaginer avant de les revendiquer. Même si le dépôt d’un brevet français n’est pas très onéreux, tout le reste coûte cher et en général ce sont les entreprises qui couvrent les frais au nom du ou des inventeurs. L’attitude de la direction des Franco-Belges considérant ne pas avoir à rétribuer un collaborateur pour une invention (dite de service) reste aujourd’hui le cas général. Les choses sont en train de changer depuis que l’inventeur de la diode (LED) bleue Shuji Nakamura (prix Nobel de physique 2014) a gagné un procès contre son entreprise et s’est vu attribuer 20 milliards de yens pour son invention.
    Sur ce point aussi, Georges Delannoy avait de l’avance

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